Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
16 janvier 2016 6 16 /01 /janvier /2016 19:35

situation générale :

IL n'y a pas d'élément nouveau sur la scène internationale.

L'économie ne repart pas.

La consommation de pétrole baisse et la production dégage des surplus par simple déséquilibre offre/demande.

On ne sait pas dire jusqu'où la baisse va nous mener.

Le niveau des 30$ le baril a été enfoncé et désormais cap vers les 25$ le baril.

la Chine adapte son modèle économique quoi de plus normal !

La volatilité atteint des niveaux extrêmes.

Seules les banques centrales vont pouvoir encore une fois tenter l'impossible !

Les indices CAC, DJ et tous les autres sont à la cave.

Nous sommes dans le CRACH !

Le CAC a perdu plus de 20% depuis ses plus hauts du printemps 2015.

Personne ne peut prédire la suite....tout est possible !

 

nos UC :

Le rouge domine partout. Seule KEREN essentiel C garde la tête au-dessus de l'eau. IMPRESSIONNANT !

 

mes conseils :

je considère qu'il fallait sortir du marché quand nous avions des signaux de sécurisation voire de dernière vente sur enfoncement des MM150.

Aujourd'hui cela me semble trop tard pour vendre(si cela n'a pas été fait) et je pense que nous devons encaisser la baisse dans l'attente.

 

 

16/01/2015 - crach en cours
16/01/2015 - crach en cours
16/01/2015 - crach en cours
16/01/2015 - crach en cours

Partager cet article

Repost0

commentaires

Z
Les deux seuils fatidiques de l'économie mondiale : 3.000 points à Shanghai, le pétrole à 30 dollars <br /> <br /> L'économie chinoise continue de ralentir. La baisse de la production industrielle impacte directement son marché financier. De quoi alimenter la chute du prix du pétrole. Deux seuils symboliques vont être franchis. Quelles conséquences pour le monde? Par Gérard Vespierre, associé-fondateur de Strategic Conseils, chercheur associé à la Fondation d'études du Moyen-Orient (FEMO)<br /> Le rapprochement de ces deux chiffres est tentant sur le plan arithmétique - l'un d'un niveau juste cent fois supérieur à l'autre -, sur le plan stratégique, car la baisse de l'activité économique chinoise nourrit la baisse du prix du pétrole, et sur les conséquences mondiales de voir ces deux niveaux franchis pratiquement en même temps vers le bas.<br /> L'auteur, dans un précédent article sur la tendance de l'économie chinoise(Chine, 30 piteuses après 30 glorieuses) publié le 11 Septembre 2015, écrivait :<br /> « Le 20 Août l'indice de Shangaï se situait à 3.664... Le 8 septembre, il s'est replié à 3.080.... Il faut s'attendre à de nouvelles ruptures boursières. Il y a encore 700 points de trop dans l'indice de Shanghai, par rapport à octobre 2014, avec des entreprises dont les résultats ne se sont pas améliorés, mais au contraire dégradés. Cela aboutit à une projection de baisse de l'indice d'encore... 25%! »<br /> Que venons-nous de voir ce 12 janvier ?<br /> <br /> En Chine, pas de relève par la consommation<br /> <br /> L'indice boursier est repassé sous la barre symbolique des 3.000 points... Si ce niveau est enfoncé, l'indice va poursuivre sa baisse quelles que soient les mesures prises par les autorités de marché chinoises.<br /> Depuis 10 mois, le recul de l'indice de l'activité industrielle est systématique. Face à un recul substantiel de la demande internationale en 2015, et qui va s'accentuer en 2016, la relève par la consommation domestique est un leurre.<br /> Comment est-il possible d'augmenter la demande intérieure quand les branches de l'industrie primaires, mines, métallurgie, cimenteries ferment des sites et licencient leur personnel ?<br /> <br /> Une classe moyenne qui voit fondre ses économies<br /> <br /> Comment augmenter la consommation des ménages quand une partie de leur épargne est partie en fumée dans la dégringolade boursière... ? Sur le seul mois de mai 2015, les dépôts bancaires ont diminué de 150 milliards de dollar pour alimenter la création de plus de 10 millions de comptes à la Bourse de Shanghaï... A cette somme, il convient certainement d'ajouter les montants des effets de levier mis en place par les traders... La classe moyenne voit fondre une partie de ses économies... Est-ce la base d'une situation de relance ? Certainement pas.<br /> A cela s'ajoute la fragilité de nombreuses institutions financières, l'endettement des régions, et la hausse des créances douteuses. Shang Fulin, président de la commission du secteur bancaire, aurait affirmé lundi 12 janvier:<br /> "A la fin 2015, les créances douteuses et irrécouvrables des banques commerciales avaient augmenté durant 17 trimestres d'affilée et les créances douteuses et irrécouvrables dans leur ensemble durant 10 trimestres consécutifs".<br /> Ces créances représentaient 272 milliards d'euros en 2015 contre 199,8 milliards d'euros en 2014, soit 36% d'augmentation quand les bénéfices des banques n'enregistreraient qu'une hausse de 2,3% en 2015...<br /> <br /> Relance intérieure, vous avez dit relance intérieure... ?<br /> <br /> L'augmentation de la demande a toujours lieu dans une période d'inflation de plusieurs points par an et en phase d'accélération. Que voyons-nous en Chine ? Une inflation de 1,5% environ, la baisse des prix des matières premières, de l'énergie, et une absence de tension sur les salaires, vont très certainement faire baisser le taux d'inflation en 2016 à l'instar de la baisse des prix des produits manufacturés.<br /> La hausse nécessaire et espérée des dépenses des ménages n'aura pas lieu.<br /> Les sombres perspectives de l'indice de Shanghai<br /> En conséquence la rentabilité des entreprises va continuer de s'affaiblir et leur valorisation boursière de diminuer... L'indice de Shangaï n'a pas de beaux jours devant lui.<br /> <br /> Historique de l'indice de la bourse de Shanghai. Site CNBC<br /> <br /> Il faut s'attendre à ce qu'il revienne au niveau auquel il se trouvait avant l'enclenchement de la bulle spéculative du dernier trimestre 2014... 20% à 25% de baisse... à venir...<br /> Devant cette situation très inquiétante, les autorités chinoises tentent de ralentir la chute, en bloquant le fonctionnement du marché. C'était le cas avec le dispositif du « disjoncteur » suspendant les opérations quand l'indice en séance baissait de 7%... Finalement, devant l'inefficacité de la mesure, voire son côté amplificateur de baisse, en reprise de séance, ce dispositif a été lui-même suspendu....<br /> La Commission de régulation des marchés financiers (CSRC) a annoncé le 7 janvier la prolongation de restrictions de ventes par les actionnaires possédant plus de 5% dans une entreprise cotée. Ces actionnaires, qui depuis la spectaculaire débâcle de l'été 2015 avaient interdiction de vendre, seront cependant autorisés désormais à vendre 1% de l'entreprise tous les trois mois..<br /> Quand le marché ne vous plaît pas, on bloque le marché... Quand le peuple ne vous plaît pas, il suffit de dissoudre le peuple... La Chine est dans le concert de la globalisation... Elle en a perçu d'énormes avantages, il lui faut maintenant accepter les règles du marché, son maintien sur les rails est à ce prix....<br /> Et du côté du pétrole ?<br /> <br /> La dégringolade de Shanghai va alimenter la baisse du prix du pétrole. Le franchissement à la baisse du seuil de 3.000 points, et à fortiori la continuation de cette baisse va amener le baril de Brent à passer sous le cap symbolique des 30 dollars....<br /> L'économie mondiale décélère, la production se maintient pour le moins sur de hauts niveaux, les prix du baril plongent. Aux Etats-Unis, en ce tout début de janvier, les statistiques de l'EIA indiquent que la production de pétrole de schiste ne faiblit pas et se maintient en moyenne sur les 5 derniers mois à 9,2 millions de baril par jour, contrairement à ce que la baisse entre juin et septembre avait laissé prévoir...<br /> <br /> Les importations américaines se maintenant elles aussi à un niveau assez stable entre 7 et 8 millions de baril/jour sur les 12 derniers mois. (Les Etats-Unis n'inondent pas le marché de leur pétrole de schiste... ! Leurs achats sur le marché mondial ont baissé grâce à leur production domestique, mais ils sont toujours importateurs net... !). Les réserves américaines sont toujours très proches de leur maximum historique, donc tout le scénario est en place pour la poursuite de la baisse des cours. L'OPEP décidera-t-elle une réunion avant la session prévue au mois de juin ?<br /> L'économie mondiale se dirige vers un nouveau ralentissement, non plus des seuls BRIC... mais également de la zone américaine et de la zone euro... Les exportations de ces deux zones vers l'Asie seront très probablement inférieures en 2016 par rapport à 2015. A cela s'ajoute les moindres capacités d'investissement et d'importation des pays producteurs de pétrole.....<br /> Terrible début 2016.
Répondre
Z
Autre commentaire qui corrobore tes propos<br /> <br /> SP 500 : risque d’une forte baisse<br /> <br /> Bob Janjuah chez Nomura prévoit dans les prochains mois un nouveau repli de plus de 20% des actions américaines.<br /> Bob Janjuah chez Nomura garde une vision très pessimiste des marchés financiers pour 2016. Déjà, le 13 juillet dernier, nous avions présenté les arguments du stratège qui avait bien anticipé la chute des cours survenue à la fin de l’été.<br /> Pour 2016, Bob Janjuah prévoit une faible croissance mondiale et les Etats-Unis au cœur de la tempête. Les économies émergentes devraient rester moroses, en particulier la Chine, et les producteurs de pétrole et de matières premières vont encore souffrir.<br /> <br /> Baisse des taux longs américains<br /> <br /> Avant la fin de l’année, le stratège de Nomura prévoit une baisse du taux d’intérêt américain à trente ans sous 2,5% (2,85% actuellement) et un rendement sur le dix ans proche de 1,5% (2,09% actuellement). La Fed pourrait remonter son taux directeur une ou deux fois dans le courant du premier trimestre, mais l’institution monétaire devrait adopter une politique plus stimulante avant la fin de l’année.<br /> Le dollar pourrait encore tenir dans les prochains mois, mais le billet vert devrait se retourner à la baisse avant la fin du deuxième trimestre, le marché intégrant l’erreur de politique de la Fed avant que celle-ci le reconnaisse.<br /> D’ici là, les producteurs de matières premières et les pays émergents vont rester sous pression et la Chine va encore dévaluer sa monnaie. Le peg au dollar de la devise saoudienne est aussi menacé, jusqu’à ce que le dollar s’affaiblisse au second semestre. Enfin, la Banque du Japon devrait accentuer ses soutiens monétaires pour éviter une appréciation de sa devise.<br /> <br /> Recul de la Bourse américaine de 20% à 25%<br /> <br /> Bob Janjuah prévoit une baisse supplémentaire du SP 500 de 20% à 25% sur les niveaux actuels, vers le seuil des 1.500 points. Un retournement favorable suivrait au moment où la Fed changerait une nouvelle fois de politique monétaire.<br /> Le stratège de Nomura anticipe dans les prochains mois une récession des profits aux Etats-Unis et à un retournement négatif sur les créations d’emplois. Il conseille d’être « long » sur les actions japonaises (en couvrant le change) et « short » sur les actions américaines.<br /> <br /> Matières premières sous pression<br /> <br /> Les matières premières vont rester sous pression durant le premier semestre. Bob Janjuah prévoit un baril de pétrole WTI sous 30 dollars, en gardant à l’esprit le risque d’un nouveau choc pétrolier lié à la détérioration du conflit entre l’Arabie Saoudite et l’Iran, qui aurait de lourdes conséquences sur le prix du brut et l’économie mondiale.<br /> Le stratège de Nomura se dit très inquiet par l’évolution de la dette privée émergente et la dette high yield dans les pays développés. Il préfère le crédit en zone euro noté investment grade, même si les risques de contagion sont bien réels. La liquidité sera déterminante.<br /> Plus tard dans l’année, la dette émergente et le haut rendement pourraient mieux se comporter si la Fed change de politique. Mais dans l’immédiat, le stratège privilégie la meilleure qualité.<br /> Bob Janjuah changerait ses anticipations si la Chine, le Japon, les Etats-Unis et la zone euro engageaient des nouvelles politiques fiscales de soutien. Le consommateur américain pourrait aussi surprendre favorablement, avec une accélération des ventes au détail qui progressent actuellement à un rythme de 1% à 2%.
Répondre
Z
Bonjour arrot<br /> <br /> Je suis en total accord avec ton analyse .<br /> Je vais argumenter sur trois posts différents<br /> <br /> Actions américaines : Krach en vue à Wall Street pour 2016<br /> <br /> Le début de l’année boursière 2016 a bien mal débuté à Wall Street. L’indice Dow Jones a perdu -6,2% sur les 5 premiers jours de l’année. C’est une variation qui n’avait jamais été vue depuis 1928, année où le nombre de sociétés composant l’indice a été porté à 30.<br /> On peut toutefois se consoler en vérifiant qu’il n’y a aucune corrélation entre la performance au début d’une année boursière et sa performance pour le reste de l’année. A titre d’exemple, la dernière grosse variation baissière de début d’année remonte à 1991. Le début de l’année vit alors l’indice reculer de -4,7%, tandis que la progression du reste de l’année se termina sur un gain conséquent de +20,3%.<br /> Toutefois, et compte tenu de la conjoncture boursière qui prévaut depuis plusieurs mois, il y a une très forte probabilité pour que les marchés boursiers s’écroulent au cours de l’année 2016. La correction estivale qui est intervenue au cours de l’été dernier ne serait qu’un prélude à un séisme beaucoup plus fort.<br /> <br /> Des fondamentaux qui se détériorent<br /> <br /> Je ne m’attarderai pas sur les facteurs macroéconomiques. Je vous renvoie pour cela sur mon analyse de décembre dernier qui reste toujours d’actualité (Etats-Unis : 2016, une année difficile pour l’économie américaine).<br /> Je rappellerai seulement qu’en dépit d’un léger repli, la capitalisation boursière des actions américaines représentait encore 120% du PIB fin 2015. Sur les cinquante dernières années, la moyenne se situe à seulement 75% du PIB, ce qui laisse une marge appréciable pour un retour en direction de ce niveau.<br /> Du côté des fondamentaux des sociétés, mon indice sur les bénéfices prévisionnels des actions du Dow Jones continue de baisser depuis l’été dernier. Cet indicateur est revenu à 104,8 points contre 107,9 en juin 2015. Selon les estimations de Facset, la saison des résultats devrait confirmer cette tendance baissière.<br /> Le dollar fort, la chute des prix du pétrole et des matières premières, le ralentissement de la consommation des ménages, tous ces facteurs devraient impacter négativement les comptes des entreprises américaines.<br /> <br /> Une aversion au risque qui s’accélère<br /> <br /> Tous les indicateurs de risque ou de fuite vers la qualité (flight to quality) sont orientés négativement. Que ce soit la prime de risque sur les actions, le spread entre les taux d’intérêt des obligations corporate et celui des Tnotes, ou encore le ratio entre l’indice SP500 et le prix des TNotes.<br /> Parmi ces indicateurs, le ratio du prix des small caps américaines sur celui des blue chips n’est pas en reste non plus. Son orientation baissière depuis l’été dernier indique une nette désaffection des investisseurs pour les petites valeurs du NYSE.<br /> J’interprète cette sous-performance des petites capitalisations comme un signe de défiance des investisseurs à l’égard des actions américaines en général. Dans la mesure où les small caps sont moins liquides, les investisseurs dont les anticipations sont baissières sur le marché, ont généralement tendance à se délester en premier de celles-ci.<br /> <br /> <br /> Que dit l’analyse technique de l’indice SP500 ?<br /> <br /> L’analyse technique sur l’indice SP500 est relativement simple et s’apparente à un cas d’école, du moins si l’on s’appuie sur l’indispensable volume des transactions.<br /> En prenant du recul, on s’aperçoit que depuis près de 2 ans, l’indice SP500 stagne au-dessus d’un support situé vers 1900 points. La figure qui se forme au-dessus de ce niveau est une figure de distribution, comme le démontre la chute de l’obvgram : les volumes baissiers l’emportent sur les volumes haussiers.<br /> A court terme, le marché peut résister et se maintenir entre 1900 et 2000 points. A moyen terme (mon horizon de prédilection), le support sera enfoncé et l’indice reviendra rapidement tester le support majeur situé à 1570 points, ce qui représenterait une chute de 17%.
Répondre
T
Salut <br /> <br /> Si je suis d'accord avec ton analyse ,Je ne le suis pas par contre avec ta dernière phrase<br /> "Aujourd'hui cela me semble trop tard pour vendre(si cela n'a pas été fait) et je pense que nous devons encaisser la baisse dans l'attente."<br /> En effet, après de telles purges, il est rare , si elle devait s'arrêter que le marché reparte immédiatement à la hausse car il va panser ses plaies. Donc pour moi il y a 2 scenarii possibles <br /> * scénario N°1: le marché continue de baisser donc si lundi je m’allège fortement je limite mes moins values et je dégage une force de frappe pour rentrer plus tard sur le marché.<br /> * scénario N°2: le marché s'arrête de baisser et si je vends lundi je ne perds plus rien;<br /> Si le marché repart il ne le fera pas en ligne droite, il faudra voir comment se présenteront les max et mini consécutifs afin de déduire , avec la loi de Dow si je rentre à nouveau ou pas . S'il repart j'attendrais le prochain reflux et si ce dernier se trouve au dessus du mini précédent alors j'applique la loi de Dow et je rentre( j'aurais dans ce cas là perdu un peu )<br /> Par contre si on ne vend pas lundi pourquoi ne pas prendre entre 5 et 10 % du portefeuille sous la forme de bear BX4 ce qui entrainerait une couverture entre 10 et 20% du portif . Personnellement j'ai du bear depuis un moment mais pas assez pour couvrir mes pertes actuelles<br /> Qu'en pensez vous?
Répondre

  • : Le blog de tradinglicoudedou
  • Le blog de tradinglicoudedou
  • : Gestion des UC en Assurance Vie en utilisant l'analyse technique simplifiée - contact MP : cliquez sur "contact" pour acceder au formulaire de laison avec mon mail tradinglicoudedou@hotmail.com
  • Contact

Depuis plus de 15 ans, je m'intéresse au suivi des marchés financiers en m'appuyant sur l'analyse graphique. De formation scientifique, vous comprendrez que le concept de moyenne mobile ou autres MACD puisse avoir pour moi un sens technique.

La tendance se constate dans toutes les unités de temps. Les supports et résistances sont des repères généralement efficaces.

Même s'il y a débat quant à l'application de l'analyse graphique aux OPCVM, une tendance est une tendance. elle résulte de nombreux facteurs ....mais seul le résultat nous importe.

 

Recherche

indicateurs économiques