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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 12:50

Le CAC vient de toucher 4450 mi journée du 6 janvier 2016

Les marchés dévissent depuis lundi avec la situation chinoise.....les US n'ont pas le ressort pour contrer le sentiment négatif.

Je ne vais pas faire d'analyse poussée ni de pronostic.

Pour examiner la situation je vais prendre le macroscope en UT mensuelle et journalière sur le CAC40

En mensuel : depuis mi 2011, nous sommes dans un canal haussier dont nous venons de tester le bas (support oblique)

en journalier :

-depuis mi avril nous sommes dans un large canal baissier dont le point bas actuel est 4200points

-sur du court terme, depuis début décembre nous sommes dans un canal baissier dont la résistance (ligne basse) se trouve autour de 4400.

 

4350 résistance formée par la boll100 inférieure en ut jour semble un premier plancher.

 

en synthése : nous sommes haussier "limite" en mensuel

nous sommes baissiers dans toutes les autres unités de temps basses

 

Personne ne sait ce qui va se passer !

 

Nous sommes clairement dans la baisse.

 

toute accélération dans un sens ou dans un autre donnera le là.

 

A suivre !

 

6/01/2015 - Peur ou  pas Peur ?
6/01/2015 - Peur ou  pas Peur ?

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commentaires

Z
Le stratège de la Société Générale critique la politique des banques centrales et souligne leur inefficacité, qui devrait bientôt conduire à un nouveau krach financier.<br /> Selon Albert Edwards à la Société Générale, la Réserve fédérale reconduit les erreurs de politique monétaire de ses prédécesseurs, Alan Greenspan et Ben Bernanke, qui ont entrainé une bulle financière massive finissant toujours par éclater.<br /> Le stratège s’est rendu célèbre en anticipant la crise asiatique en 1996 et la catastrophe des subprimes à partir de 2005 (avec deux ans d’avance). Albert Edwards est un Cassandre qui prévoit (à tort) l’effondrement des actions depuis de très nombreux mois. Mais ses arguments semblent à nouveau porter et sa conférence annuelle, organisée à Londres le 12 janvier prochain avec Andrew Lapthorne (directeur de la recherche quantitative à la Société Générale) et Russell Napier (stratège indépendant spécialiste des pays émergents), devant plus de 800 professionnels, devrait rencontrer un très vif succès. <br /> L'excès putride<br /> À la différence du précédent cycle de resserrement du crédit aux Etats-Unis survenu en 2004, le marché de la dette privée est déjà bien stressé et il suffirait, selon le stratège, d’une minuscule aiguille pour laisser échapper «l’excès putride».<br /> Selon Albert Edwards, la hausse du taux directeur annoncée par la Fed le 16 décembre est trop tardive pour éviter une nouvelle crise du système financier mondial. L’autorité monétaire aurait dû commencer à remonter son taux directeur l’année dernière, au vu de la progression des crédits accordés par les banques. L’année 2016 devrait donc être particulièrement turbulente. <br /> L’extraordinaire stimulation monétaire n’a pas eu les effets positifs escomptés sur l’économie américaine, mais elle a contribué à accentuer les écarts de richesse entre les Américains. La croissance a été parmi les plus faibles de l’après-guerre. Mais ce n’est pas une surprise pour le stratège qui rappelle que la bulle de crédit précédant la récession de 2008 était parmi les plus grosses de l’histoire, nécessitant d’aussi longues années de réduction du levier financier.<br /> Une explosion de la dette des entreprises<br /> L’échec de la politique de la Fed s’est traduit par le maintien d’un taux d’épargne élevé chez les Américains, à plus de 5%, malgré le gonflement de la richesse des ménages à un sommet historique qui aurait dû les inciter à emprunter et consommer davantage. <br /> A l’inverse, les largesses de la Fed ont provoqué une explosion de la dette des entreprises, qui progresse à un rythme plus élevé que lors de la bulle internet, selon Albert Edwards. Ainsi, la dette nette des sociétés du SP 1500 (hors financières) atteignait fin septembre un montant estimé à 2.600 milliards de dollars, alors que l’excédent brut d’exploitation (ebitda) de ces entreprises déclinait depuis un an vers 1.800 milliards. Fin 2009, ces deux grandeurs fortement corrélées avoisinaient l’une et l’autre 1.200 milliards !<br /> Albert Edwards montre que ce surcroit d’endettement n’a servi aux entreprises américaines qu’à racheter leurs propres actions, sans qu’elles investissent davantage pour augmenter leurs capacités de production ou améliorer leur productivité.<br /> Et alors que le PER médian (cours rapporté aux bénéfices estimés pour les douze prochains mois) évolue proche de son niveau historique de 19, le ratio de la valeur d’entreprise (dette nette plus capitalisation) rapportée à l’Ebitda (excédent brut d'exploitation) se rapproche de 12, au plus haut depuis la bulle Internet. Il est devenu bien difficile de trouver des sociétés bon marché !<br /> Les marges de profits devraient décliner<br /> Les difficultés rencontrées sur le marché de la dette privée ne concernent pas seulement le secteur énergétique, mais elles reflètent la plus grande prudence des investisseurs spécialisés qui réduisent massivement leurs positions. Selon Albert Edwards, «les investisseurs en actions sont tellement intoxiqués qu’ils n’ont pas réalisé que la musique s’était arrêtée».<br /> Alors que le coût unitaire du travail augmente et que les prix de vente sont sous pression, les marges de profits des entreprises devraient décliner. La fragile reprise de l’économie américaine est menacée par une prochaine liquidation des stocks, conclut le stratège. La récession est au coin de la rue avec «une bombe de la dette prête à exploser».
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Z
Recul des Bourses , si la Chine !!!!!!!<br /> <br /> <br /> Mais un élargissement des écarts de crédit et une plus grande aversion pour le risque renchérirait le coût du capital, pesant sur la valorisation des actions. Les Bourses mondiales pourraient baisser de 25% à 30% et les Bourses émergentes de 40%. Le SP 500 tomberait à 1.750 points selon UBS et le Stoxx 600 à 260 points, correspondant au point bas des valorisations constatées depuis quinze ans.<br /> L’euro et le dollar serviraient de valeur refuge, et les devises émergentes perdraient 12% à 15%. Les taux longs américains baiseraient fortement vers 1,5% et l’écart de rémunération sur la dette à haut rendement remonterait à 1.200 points de base. <br /> Les secteurs les plus exposés à la Chine sont les groupes miniers, la technologie et les biens de consommation. Selon UBS, l’impact d’un scénario négatif sur l’économie chinoise n’est pas intégré dans les cours de Bourse des entreprises les plus exposées, comme General Motors, Monsanto, Air Products, Dow Chemical, Nike, Rémy Cointreau, Pernod Ricard, Engie, E.On, Edenred, Air France-KLM, Lufthansa.
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Z
Bonjour arrot<br /> <br /> Moi j'ai peur aussi je n'ai pas un copeck en bourse et voici pourquoi :::<br /> Marchés financiers: les sept défis de 2016<br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> Après une année 2015 marquée par un retour de la volatilité, l’année 2016 s’annonce aussi agitée sur les marchés. Croissance, inflation, pétrole, risques géo-politique, prix des actifs et même El Nino mettent au défi les investisseurs.<br /> Des baisses de plus de 2 % à Wall Street, en Europe et en Asie, l’année boursière 2016 a démarré difficilement, dans la lignée d’un mauvais mois de décembre, qui a vu la Bourse de Paris perdre plus de 6,5 %. Le nouvel an n’a pas effacé les nombreux défis qui attendent les marchés financiers, alors que 2016 s’annonce encore très volatile et peuplée d’incertitudes. Nous en avons listés sept.<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> <br /> Le défi de la croissance<br /> <br /> En 2015, la croissance mondiale a été revue en baisse à trois reprises par le FMI. Un ralentissement qui n’a cessé d’inquiéter les marchés depuis la fin du premier semestre. Et 2016 n’est pas exempt de risque. La question de la croissance chinoise est sur toutes les lèvres et la réaction, lundi, des marchés, au mauvais chiffre de l’activité industrielle en décembre illustre le stress des marchés face à un éventuel « hard landing » de l’économie chinoise, malgré l’activisme fort de la Banque centrale chinoise . « Seul le temps dira si la politique de la PBOC permettra de freiner les fluctuations excessives des marchés actions, mais les perspectives restent négatives. Après, il est de l’intérêt primordial de la Chine, aussi bien des autres pays émergents que la PBOC maintienne sous contrôle la dépréciation du yuan », note la Société Générale. Car le ralentissement chinois a des répercussions sur les pays voisins, partenaires en Asie, mais aussi sur les pays producteurs de matière premières en Amérique latine notamment. Russie et Brésil en récession. L’inde reste un îlot de croissance, mais ne semble pas en mesure pour l’instant de se substituer à la Chine comme moteur de la croissance mondiale.<br /> Le ralentissement chinois peut aussi avoir un impact sur la croissance américaine. La Fed a pu rassurer sur ce point en décembre, en accompagnant sa première hausse des taux d’un discours plutôt positif sur son économie et John Williams<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> président de la Fed de San Francisco estime que les fondamentaux économiques sont « vraiment solides, en termes de dépenses des ménages, de trajectoire économique ». Les investisseurs devraient donc rester très dépendants des statistiques économiques, alors que les Etats-Unis, la Chine et l’Europe sont entrés dans un cycle économique et des politiques monétaires divergentes. « Cela va rendre les décisions d’investissement plus complexes », reconnaît ainsi Standard Life Investments, même si le groupe voit des « signes de robustesse dans plusieurs pays. 2016 devrait voir plus de politique fiscal soutenant l’activité. Les perspectives restent positives pour les profits en Europe et au japon : des prix de l’énergie et des matières premières vont soutenir les dépenses des ménages et les marges des entreprises et l’emploi s’améliore régulièrement dans de nombreux pays ».<br /> <br /> Le défi pétrolier<br /> <br /> « Le pétrole est devenu le métronome de la perception du risque par les investisseurs. Plus sa baisse est forte et soudaine, plus ils s’inquiètent de la santé de l’économie mondiale », souligne Igor De Maack chez DNCA Investments. Les investisseurs ne perçoivent pas l’impact positif pour les entreprises et les consommateurs de certains pays pour se focaliser sur un pétrole qui déstabilise les pays producteurs. « Si les prix tombent encore plus bas, il est probable que les récessions actuelles au Brésil et en Russie s’aggravent et se propagent aux autres pays exportateurs », selon Clearbridge Investments. La chute incessante du prix du pétrole constitue aussi un risque pour les Etats-Unis, alors que le secteur de l’énergie et des matières premières ont représenté 37 % de l’investissement des entreprises aux Etats-Unis selon une<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> étude de l’Université de new York. Selon Permal (groupe Legg Mason), « les défauts sur les obligations high yield vont s’accélérer en 2016, notamment dans le monde de l’énergie », alors que de « nombreuses stratégies de couverture sur les matières premières, qui ont protégé les entreprises d’exploration et de production pétrolière aux Etats-Unis, arrivent à expiration en 2016 ».<br /> Autre risque pour les marchés actions, les ventes forcées des fonds souverains du Golfe pourraient s’accélérer pour combler les déficits budgétaires, alors qu’ils sont « devenus d’importants investisseurs aux Etats-Unis, mais aussi dans d’autres marchés actions » selon Clearbridge Investments. Selon ce dernier, « il est difficile d’envisager une hausse sensible de la croissance mondiale, tant que les prix du pétrole et des autres matières premières ne se seront pas stabilisés ». Si à court terme, les tensions au Moyen Orient pourraient tirer les prix vers le haut, à moyen terme, l’incapacité de l’Opep à se mettre d’accord sur une baisse de la production pour réduire une offre nettement excédentaire, ne plaide pas en faveur d’un rebond durable. Pour RBS, « la persistance de bas prix du pétrole devrait probablement offrir plus de peine que de gain ».<br /> <br /> Le risque climatique<br /> Le risque climatique<br /> <br /> Sur les marchés de matières premières, agricoles et énergétiques notamment, c’est l’un des risques qui va rester dans le radar des opérateurs pendant encore quelques mois. Le phénomène météorologique El Niño, qui bouleverse le temps depuis 2015 dans de nombreuses régions du monde, est l’un des trois plus puissants enregistrés depuis les années 1950, juste derrière les épisodes de 1982-83 et 1997-1998. Aux Etats-Unis, les températures anormalement chaudes en<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> décembre ont envoyé les cours du gaz naturel au plus bas. Et si les cours du cacao ou de l’huile de palme ont monté en 2015, c’est en partie en raison des craintes de moindres récoltes. Les spécialistes australiens ont indiqué mardi qu’El Niño avait atteint son point culminant et ils envisagent un retour à la normal des conditions météo d’ici le deuxième trimestre.<br /> Mais ils préviennent déjà qu’un autre phénomène pourrait alors faire son apparition : La Nina, à même lui aussi de chambouler les marchés des marchés agricoles<br /> .<br /> Le défi de l’inflation<br /> <br /> L’inflation en zone euro a reculé en décembre pour le deuxième mois de suite. Si ces chiffres ne « présagent pas forcément de la tendance du reste de l’année », selon la Société Générale, c’est néanmoins un rappel du challenge qui attend les banques centrales dans leur objectif de retour à une inflation plus élevée ». La bataille engagée par la BCE, comme par la Banque du Japon, contre la déflation est loin d’être gagnée et selon Capital Economics, « la BCE va devoir en faire davantage pour atteindre son objectif d’inflation de 2 % ». Car selon UBS, le monde continue de faire face à quatre forces déflationnistes : désendettement des banques, suroffre industrielle de la Chine, nouvelles techniques d’extraction du pétrole et nouvelles technologies qui ont amélioré la transparence des prix. « Il n’est pas facile de générer de l’inflation face à de telles forces et dans un monde où les niveaux de dette nominale sont élevés », estime la banque qui pense tout de même que l’inflation devrait se normaliser, « surtout au fur et à mesure que les cours pétroliers cesseront de chuter ». Mais en attendant, la pression risque de s’accroître sur la BCE et avec, les risques de déceptions et<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> d’interrogation face à l’efficacité des banques centrales.<br /> Aux Etats-Unis, la problématique est un peu différente pour la communication et la politique de la Fed. Patrick Artus chez Natixis, perçoit ainsi deux « black swans », deux évènements défavorables non anticipés qui pourraient entraîner une forte dégradation des marchés financiers aux Etats-Unis : « un freinage de la croissance plus important qu’attendu ou à l’inverse des hausses de salaire et de l’inflation » qui pousserait la Fed à relever ses taux plus vite que prévu.<br /> <br /> Le défi des bénéfices de Wall Street<br /> <br /> En 2015, l’indice S&P 500 a baissé de 0,73 %. Une première depuis 2008. La fin du « bull market ? », de sa plus longue période de hausse sans interruption par une baisse de plus de 20 % depuis la Seconde guerre mondiale ? Une chose est sûre, « la Fed n’est plus du côté des investisseurs », rappelle Alberto Gallo chez RBS. La Fed qui pourrait augmenter ses taux d’intérêt à trois ou quatre reprises en 2016. Selon Adam Parker chez Morgan Stanley, Wall-Street fait face à un « cocktail phénoménal. La Fed a créé sur son ordinateur 4.000 milliards de dollars pour acheter ses propres dettes souveraines, le S&P500 n’est pas très loin de ses records historiques, le dollar est plus fort contre la plupart des devises… » Un cocktail explosif alors que les bénéfices des entreprises américaines devraient stagner en 2015 ? « Pour voir leurs résultats progresser, les entreprises devront enregistrer une croissance de leur chiffre d’affaires, notamment dans les régions où les valorisations sont élevées », selon Russ Koesteirch chez BlackRock. Selon lui, l’impact des fluctuations du dollar et des prix du pétrole sera déterminant en 2016 ». De son côté, Morgan Stanley reste «<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> modérément positif » et estime que les marges des entreprises «devraient rester élevées alors que les entreprises de croissance dans la High Tech ou la santé ont un profil de rentabilité supérieur aux entreprises déclinantes dans l’énergie, l’industrie ou les matières premières ».<br /> <br /> Le défi politique<br /> <br /> C’est un risque à ne pas négliger, celui d’un délitement de la zone euro. Les élections de 2015 au Portugal et en Espagne n’ont pas permis de dégager des majorités claires et posent un risque sur la poursuite des réformes… « L’Espagne est dans une impasse politique », constate Aurel BGC. Au niveau national, mais aussi local, alors que « la Catalogne est toujours sans président ». Le sauvetage de la Grèce avait déjà montré les limites de la cohésion européenne…La question des migrants aggrave les dissensions. « La montée du populisme et la fragmentation du paysage politique pourraient paralyser le processus décisionnel en Europe, processus déjà fortement remis en cause par une Grande Bretagne très revendicative », constate Igor De Maack chez DNCA. La tenue d’un référendum sur une sortie de la Grande Bretagne de l’Union pourrait aussi constituer un gros facteur de stress dans les prochains mois. Enfin la Grèce pourrait aussi revenir sur le devant de la scène avec notamment la réforme, « essentielle, des retraites qui constitue un sujet très sensible » selon Aurel BGC. « Elle est susceptible de faire ressurgir les tensions entre Athènes et Bruxelles ». A ce tableau, on pourrait aussi ajouter la crise politique au Brésil ou les élections présidentielles américaines rarement neutres pour les marchés.<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99<br /> <br /> Le défi du Proche-Orient<br /> « L’agenda politique et géostratégique s’est lui aussi invité dans l’analyse des risques actuels dans des démocraties tétanisées par la menace terroriste », regrette Igor De Maack. Aux tensions sur le front Russie/Ukraine du début 2015, ont succédé les tensions au Proche-Orient entre la Turquie et la Russie puis entre l’Arabie saoudite et ses alliés et l’Iran. Pour Jean-Marie Mercadal chez OFI AM, les risques d’une intensification des tensions géopolitiques sont de trois ordres : « un retard dans la réduction des déficits publics en Europe, une réduction du commerce international, liée notamment à la réduction de la liberté de circulation des biens et des personnes et enfin risque sur le pétrole ». le risque est en effet celui d’une flambée des prix du pétrole qui pourrait accroître les tensions inflationnistes dans les pays développés et perturber les actions des banques centrales. Mais les tensions entre l’Iran et l’Arabie saoudite sont aussi le reflet d’une guerre pour les parts de marchés pétroliers et aucun ne semble disposer de faire un cadeau à l’autre en diminuant sa production. Reste enfin le risque attentat, dont l’impact sur le consommateur et les coûts économiques restent difficiles à évaluer. Mais, avertit Aurel BGC, « face à un tel choc exogène, les banques centrales sont très démunies » et disposent aujourd’hui de moins de marge de maneouvre qu’en 2001 (11 septembre) ou 2008 (faillite de Lehman brothers)…<br /> <br /> En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/f....php?hzxk61t04A7SyUK7.99
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Depuis plus de 15 ans, je m'intéresse au suivi des marchés financiers en m'appuyant sur l'analyse graphique. De formation scientifique, vous comprendrez que le concept de moyenne mobile ou autres MACD puisse avoir pour moi un sens technique.

La tendance se constate dans toutes les unités de temps. Les supports et résistances sont des repères généralement efficaces.

Même s'il y a débat quant à l'application de l'analyse graphique aux OPCVM, une tendance est une tendance. elle résulte de nombreux facteurs ....mais seul le résultat nous importe.

 

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