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23 janvier 2016 6 23 /01 /janvier /2016 08:30

situation générale :

La première partie de la semaine s'apparentait à un Krach......Baisses successives avec quelques sursauts sans suite.

 

Jeudi et vendredi l'intervention de la BCE a redonné l'espoir.

 

Les autres banques centrales vont intervenir dans le même sens.

 

Mais la question du constat de la reprise économique reste pendante.

 

Les indices à 5 jours(graphes ci-aprés) reflètent la volatilité excessive.

 

On se donnera l'observation de la semaine prochaine pour déterminer le sens de la tendance qui reste baissière pour le moment.

Les confirmations viendront aprés les interventions de la FED et de la BOJ.

 

nos UC :

Les dernieres valeurs liquidatives ne prennent pas en compte l'impulsion de vendredi.

Le rouge est total.

 

mes conseils :

Conserver les positions.

Je considère que la période des achats à bon compte n'est pas encore là.

23/01/2016 - volatilité extrême - rien n'est réglé !
23/01/2016 - volatilité extrême - rien n'est réglé !
23/01/2016 - volatilité extrême - rien n'est réglé !
23/01/2016 - volatilité extrême - rien n'est réglé !

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commentaires

T
bonsoir Gilles et Zizou, <br /> il est vrai que la journée de vendredi est surprenante. <br /> Suite à la BCE, et aux interventions annoncées de la FED et la BOJ, les marchés se mettent à croire que la croissance va venir...on est toujours dans le pari d'une amélioration à 6 -12 mois. D'ailleurs le prix du pétrole s'est mis à remonter sans constat physique sur le changement de l'équilibre l'offre/demande. <br /> Les risques de désillusions sont grands. <br /> je les évaluerais à dire d'expert à 60%. <br /> Je crains encore et toujours le mois de mai prochain.<br /> je suis donc pessimiste à 60% et optimiste à 40%. <br /> quel point d'entrée ?<br /> j'attends des températures plus chaudes "court terme" et "moyen terme" au moins. <br /> On pourra constater alors un renversement de tendance. <br /> L'entrée ne se fera pas au plus bas mais elle sera mieux sécurisée (jamais à 100%). <br /> .......le sentiment sera alors majoritairement optimiste >50%.<br /> en conclusion, on surveille sans excitation particulière surtout pour rentrer. <br /> Si ça nous démange (et je comprends cela) intervenir LONG en trading intraday sur les indices en CFD ou avec le LVC en PEA.<br /> bon W.E.
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Z
Quand la Bourse s’inquiète d’une surabondance de bonnes nouvelles<br /> <br /> <br /> Paradoxalement, la Bourse peine à digérer, depuis le début de l’année, un excès… de bonnes nouvelles. Deux bénédictions de ces derniers mois pourraient bien tourner à la malédiction.<br /> Malgré la remontée de ce vendredi, la Bourse a commencé l’année de la plus vilaine manière possible : - 10% en trois semaines, du presque jamais vu. Cumulées depuis le début décembre 2015, les pertes affichent 15% et, depuis le 1erseptembre, 20%. Une dégringolade spectaculaire, assez régulière durant quatre mois et qui, maintenant, s’accélère. Pourquoi ce décrochage digne des années de crise dont nous venons justement de sortir?<br /> Le paradoxe est que la Bourse s’inquiète d’une surabondance… de bonnes nouvelles. In medio stat virtus, point trop n’en faut, qui trop embrasse mal étreint: il y a mille manières de le dire mais, de toute éternité, on sait que l’excès nuit – y compris l’excès de ce qui peut sembler, en première analyse, une évolution favorable. Or, deux bénédictions de ces derniers mois pourraient bien tourner à la malédiction.<br /> 1. La chute du prix du pétrole. D’abord délicieuse (elle allège la facture des ménages et des entreprises dans les pays consommateurs, ce qui soutient la demande), elle a pris une telle ampleur (le baril est tombé de 100 dollars à moins de 30 en quinze mois) commence à avoir de très nombreux inconvénients:<br /> • Les pays producteurs sont au bord de l’asphyxie: de l’Algérie à l’Arabie Saoudite en passant par la Russie (on ne parle même plus du Vénézuéla, moribond), les budgets deviennent très difficiles à boucler et les capacités à nous acheter nos produits d’exportation s’érode. La croissance mondiale, mais aussi la stabilité du Moyen-Orient, en sont affectées ;<br /> • De très grandes entreprises occidentales dont la bonne fortune est<br /> • directement liée au cours du brut souffrent: les majors pétrolières (ExxonMobil, Chevron, Shell, BP et Total dans une moindre mesure) et leurs sous-traitants voient leurs cours de Bourse affectés et coupent à la hache dans leurs investissements, parfois même leurs effectifs. Mauvais, là encore, pour la demande ;<br /> • Les banques américaines, qui sont très engagées dans le financement de la production et de l’exploration des gaz de schiste aux Etats-Unis, risquent de faire face à des faillites de clients qui pourraient leur valoir de lourdes pertes. Pas bon pour leur capacité à financer l’économie américaine…<br /> 2. La baisse des taux d’intérêt. Là encore, elle fut d’abord un immense bonheur: une dette accumulée par les entreprises, les Etats et les ménages plus faciles à refinancer et à absorber, des investissements plus faciles à financer, des crédits consommation bon marché et donc attractifs, que demander de plus ? L’inconvénient est que… la baisse des taux commence elle aussi à poser des problèmes aux banques:<br /> • une partie de leur ressource voit son coût baisser – celle qu’elles « lèvent » sur les marchés –, mais une autre, les dépôts de leurs clients, ne peut pas être rémunérée négativement et, donc, garde le même coût. Si bien que, au total, leur « matière première », l’argent garde un prix relativement élevé… alors même qu’elles prêtent moins cher qu’avant. Résultat: leurs marges se réduisent, donc leur profitabilité. Comme le régulateur exige d’elles d’avoir des fonds propres élevés pour prêter, et que ces fonds propres ne peuvent plus grossir chaque année d’aussi plantureux profits qu’avant, leur capacité à prêter s’érode.<br /> • de nouvelles inquiétudes sur la valeur de la dette publique de certains pays européens se font jour au fur et à mesure que l’on s’approche de la<br /> • sortie, encore lointaine mais inéluctable, des politiques monétaires accommodantes mises en place en Europe. Or, de cette dette publique, on oblige les banques à truffer leurs réserves – là encore, le risque est celui qu’elles doivent passer des provisions qui iraient affecter leurs fonds propres, donc leur capacité à distribuer des prêts ;<br /> • celles qui sont exposées sur les pays exportateurs de pétrole ou sur les producteurs de gaz de schiste américains ont des inquiétudes particulières (voir plus haut) qui, si elles se matérialisaient, s’ajouteraient encore à leurs tracas, et donc à leur capacité à prêter.<br /> Apparaît ainsi, en tendance, l’émergence d’un risque que le crédit se tarisse de nouveau. On en n’est pas là. Mais les marchés, comme on sait, anticipent… et pensent à leurs bonheurs défunts comme à autant de malheurs à venir.
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Z
Salut Gilles<br /> <br /> J 'ai eu des informations récentes du directeur financier d'un gros groupe français.<br /> La croissance mis à part dans l'aéronautique personne ne la voit .<br /> La croissance actuelle en France est dû uniquement à la fois à la baisse du pétrole et à la baisse de l'euro <br /> A titre personnel je n'ai plus un Kopec en action .<br /> Pendant quatre ans les USA en particulier m'ont permis de faire de bonne opérations à présent avant de racheter il va falloir que l'économie mondiale reparte et je considère qu'on en est très loin ;<br /> Ci- joint quelques analyses de spécialistes <br /> Cordialement
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G
Salut André,<br /> J'ai été étonné par la séance de vendredi, à la fois par l'ampleur de la hausse en Europe et au Japon, mais aussi parce-que le soufflé n'est pas retombé en fin de séance. Je constate que l'action possible de la BOJ et de la BCE fait encore reçette. Mais que les indices US sont plus réservés. Du coup, je me demande si le début de rebond est viable. La solidité fin de séance de mardi et vendredi plaide favorablement, mais je ne vois pas la pression des Bears s'évanouir de sitôt. D'où ma question : sur le CAC par exemple, quel est le niveau que tu estimes comme un bon point d'entrée ? 4000 ? 3600 ? Bonne journée.
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Depuis plus de 15 ans, je m'intéresse au suivi des marchés financiers en m'appuyant sur l'analyse graphique. De formation scientifique, vous comprendrez que le concept de moyenne mobile ou autres MACD puisse avoir pour moi un sens technique.

La tendance se constate dans toutes les unités de temps. Les supports et résistances sont des repères généralement efficaces.

Même s'il y a débat quant à l'application de l'analyse graphique aux OPCVM, une tendance est une tendance. elle résulte de nombreux facteurs ....mais seul le résultat nous importe.

 

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